J’ai très tôt été intéressée par la psychologie, par l’humain et sa complexité. C’est ce qui m’a fait m’orienter, au départ vers des études d’assistante sociale. C’est avec ce bagage que j’ai travaillé dans le domaine de la psychiatrie et également au sein d’un service d’aide aux victimes. Ces années ont été très riches. Je sentais néanmoins que cela ne correspondait pas exactement à ce que je recherchais. J’ai alors suivi une licence en Sexologie à l’UCL. Une fois diplômée, j’ai lancé, avec deux collègues sexologues, un projet de Loveshop qui a vu le jour à Bruxelles il y a 11 ans et dont je reste une des administratrices.